Il court, il court, le furet, M. J. Arlidge
Il court, il court, le furet, de Matthew J. Arlidge (UK), Edition 10-18, 2017
Synopsis :
Southampton, quartier rouge. Le corps d’un homme est découvert. Atrocement mutilé, le cœur arraché. Peu de temps après, un colis est déposé au domicile de la victime. Sur un écrin de journaux, repose… son cœur. Bientôt, un autre corps est retrouvé. Même mise en scène macabre. La peur s’empare de la ville.
Pain bénit pour les tabloïds, le tueur en série est bientôt comparé à Jack l’Éventreur. Pourtant, ce ne sont pas les prostituées qui sont visées mais leurs clients. Les victimes, des hommes en apparence bien sous tout rapport, fréquentaient tous en secret les bas-fonds de la ville.
Le commandant Helen Grace est chargée de l’enquête. Le tueur est déchaîné. À elle de l’arrêter avant qu’il ne frappe à nouveau.
Dans la continuité d’Am stram gram, Il court, il court, le furet est le nouveau thriller électrisant de M.J. Arlidge.
Avis : 2.6/5
Personnages : 3/5
Décors : 3/5
Trame : 3/5
Emotion : 2/5
Globale : 2/5
Il court, il court, le furet, mais ce sera sans moi. Si la traduction laisse parfois à désirer, la trame peine vite à intéresser. Quelques personnage sympas, fort heureusement, relèvent un peu ce récit où l’on tourne autour du pot très gentiment.
Niveau empathie, on se voit nourrir au détour de plusieurs pages, sans réel brio.