Le dernier homme bon, A. J. Kazinski
Le dernier homme bon, de A. J. Kazinski (DK), Editions Le Livre de Poche, 2012
Synopsis :
Un tueur sévit à travers le monde, avec des cibles pour le moins singulières : médecins, militants des droits de l’homme, avocats…Tous œuvrent pour le bien. Les meurtres sont d’autant plus étranges qu’une marque représentant une suite de nombres indéfinissables figure chaque fois sur le dos des cadavres. Niels Bentzon, négociateur au sein de la
police de Copenhague, reconnu pour son talent mais incompris par ses homologues, est persuadé que c’est au Danemark qu’aura lieu le prochain drame. Mais qui peut être la future victime ? Aidé par l’astrophysicienne Hannah Lund, Niels va tenter de décrypter les brûlures laissées sur les victimes. Personne ne prend au sérieux ces deux personnages un brin fêlés, pourtant brillants, dont la quête devient de plus en plus impossible. La clé de l’énigme réside dans ces chiffres – mais que signifient-ils ? Qui est le mystérieux assassin et que cherche-t-il à montrer ?
Véritable page-turner, Le Dernier Homme bon combine profondeur psychologique, action et suspense jusqu’au dénouement qui surprendraplus d’un lecteur.
Couronné par les prix scandinaves les plus prestigieux, de La Clé de Verre aux Golden Laurels des libraires, le thriller de Jussi Adler-Olsen, première enquête de l’inspecteur Mørck, est un véritable phénomène d’édition mondial.
Avis : 3/5
Roman très agréable à lire malgré son volume. Les personnages sont sympathiques, le rythme varie avec précision. Le duo qui forme A. J. Kazinski s’immisce dans le monde des romans liant religion, philosophie, cryptologie, mythologie.
L’éditeur promettait là un thriller avec une fin à couper le souffle… Bref, après réflexion, ils ont l’air doués en marketing surtout !