Surtensions, O. Norek
Surtensions, de Olivier Norek (FR), Michel Lafon, 2017
Synopsis :
Cette sœur acceptera-t-elle le marché risqué qu’on lui propose pour faire évader son frère de la prison la plus dangereuse de France ? De quoi ce père sera-t-il capable pour sauver sa famille des quatre prédateurs qui ont fait irruption dans sa maison et qui comptent y rester ? Comment cinq criminels – un pédophile, un assassin, un ancien légionnaire serbe, un kidnappeur et un braqueur – se retrouvent-ils dans une même histoire et pourquoi Coste fonce-t-il dans ce nid de vipères, mettant en danger ceux qui comptent le plus pour lui ?
Des âmes perdues, des meurtres par amour, des flics en anges déchus : la rédemption passe parfois par la vengeance…
Pour cette nouvelle enquête du capitaine Coste, Olivier Norek pousse ses personnages jusqu’à leur point de rupture. Et lorsqu’on menace un membre de son équipe, Coste embrasse ses démons.
Avis : 5/5
Personnages : 5/5
Décors : 5/5
Trame : 5/5
Emotion : 5/5
Globale : 5/5
Dernière page tournée, et déjà un autre roman me vient en tête pour punir Olivier Norek : Misery !!!
Après avoir écoulé ses trois livres en une poignée de jours, je me suis senti en bonne compagnie avec la SDPJ du 93. Alors pourquoi, Olivier Norek, pourquoi un tel final ?
Bref, passons cet avis qui ne touchera que celles et ceux qui l’auront lu…
Surtensions, le titre est très bien approprié. Une tension palpable dès le début, et on monte crescendo tandis que l’humeur de Coste, personnage principal, plonge littéralement en enfer. Et il y a de quoi. Tout s’enchaîne et s’imbrique à la perfection, un puzzle à la Norek dont on sent bien la plume.
Avec le recul, j’estime que ce roman est le meilleur et ce, dans tous les domaines.
Les persos léchés, qui s’entrecroisent, avec des effets papillon.
Des décors parfaits, une trame tissée par un vrai flic qui saute aux yeux, des émotions vives. Vraiment, Surtensions brille de sa qualité générale qui va marquer l’univers francophonone du thriller.
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